Ma cabane au Canada

Hé ben voilà....
Il y a déjà 3 semaines que David, Maryline, Doriane et Anaïs sont arrivés à Montréal.
Aprés les souffrances liées au décalage horaire, ils ont beaucoup profité de la ville de Montréal; à vrai dire, cela ne m'étonnerai pas qu'ils la connaissent mieux que nous.
Puis, Nico et moi, avons réussi à avoir une semaine de congès pour faire un petit séjour de quelques jour à la découverte du Québec (cf album photos).
Nous sommes remontés sur Québec, puis sur Tadoussac. Ensuite, nous nous sommes dirigés sur le Lac St-Jean et encore un peu plus dans l'ouest de chibougamauchibougamau. Enfin, nous sommes revenus à Montréal; le tout en 5 jours.
Leurs vacances ont finalement été les nôtres aussi et c'est tant mieux car c'était TOP.

Seulement voilà, nous savions qu'ils devaient repartir, or, il est déjà l'heure....

On pose le décor ...

... on rajoute une bonne bande de potes...

Claudia, Eric, Audrey, Barbara, Cécile, Cyrile, mon loulou et moi ...

Puis, l'ambiance ...

Façon bohème,

Façon cosi à l'anglaise pour conter des histoires,

Façon, apéro,

Façon pêcheurs du dimanche,

Façon, "je profite du soleil",

Façon "le coeur des hommes",

Façon "que c'est bon de ne rien faire!"

Allez, je vous en dis plus :

En grand manque des potes et de verdure, nous décidâmes de nous retrouver "à mi-chemin" de nos demeures respectives.
A mi-chemin est un bien grand mot puisque nous avons loué ce chalet qui se situe à Alburgh, dans le Vermont soit à 1h30 de Montréal, mais 5 de Boston.

Bien sûr nous avions vu les photos mais nous ne attendions pas à nous sentir comme à la maison, pourtant ce fut le cas. Un chalet chaleureux nous attendait dans un coin perdu du Vermont, aux abords d'un lac sans fin, car les adirondacks nous paraissaient si loin et pourtant si proches. Sans doute avons nous essayé de les comparer à nos Alpes.

Il ne nous fallut pas plus de 4h00 et plus d'une cinquantaine de tentatives pour allumer un bon feu de cheminée en vue de l'arrivée imminente de nos amis.
Le lendemain, après un copieux petit-déjeuner, les hommes décidèrent de partir à la pêche en kayak ...Nous ne nous attendions pas à ce qu'ils reviennent avec des belles perches afin de les déguster au barbecue. Trempés, ils se réchauffaient au coin du feu de cheminée en dégustant un verre de vin. Nous étions tous heureux de nous retrouver mais au moins autant de se trouver sous le charme de l'endroit.

Le vent n'avait pas daigné nous laisser en paix la veille mais le lendemain, ce fut une autre histoire. Un soleil radieux inondait la maisonnée et le lac ne pouvait en être que plus tentant. De fait, nous fîmes 2 équipes, une en kayak et une en voiture, afin de profiter de la plage de sable de l'autre côté du lac. Là, nous nous sommes laissés bercer jusqu'à ce que nos ventres réclament pitance.

De retour au chalet, il était déjà temps pour nous de rassembler nos affaires et de saluer nos amis, qui eux, restaient un jour de plus pour profiter d'un week-end de 3 jours que nous n'avions pas au Canada.

Nous nous dîmes au revoir sur le pallier mais non sans se promettre de se revoir le plus tôt possible.

Hier, au retour de la cabane à sucre, Nico m'explique qu'il doit repasser au labo ; quant à moi, prise d'une fièvre acheteuse incontrôlable, je lui avance l'argument suivant : "il fait beau, il est peut être temps d'aller acheter un barbecue" (qui à la base devait être son cadeau d'anniversaire. Je vous le dis: moi quand je fais un cadeau, ça ne rigole pas !!!)
Face à cet argument pertinent, il n'a d'autres choix que de me répondre : "t'as raison ... la science attendra!"

Nous voilà donc partis pour acheter "la bête". Oui messieurs, dames car ici, on n'achète pas un barbecue comme on achète des chaussettes. Le barbecue s'assimilerait plus à la voiture , il est le reflet de votre appartenance à une caste sociale ... De ce fait, le barbecue se doit d'être design, bourré de gadgets et surtout : efficace.
Et c'est là que les choses se corsent, car pour nous, l'efficacité ne se réduit pas à la quantité de burgers que l'on peut faire cuire en même temps ... au Canada : Si.
C'est pas des conneries en plus. Pour preuve ...

Vous voyez, on ne vous a pas niaisé ! et encore, nous on n'est des p'tis jouers car sur la ferrari des barbecue on peut en faire cuire 56.

Bref, ces p'tites bêtes là, c'est top mais c'est comme chez IKEA, il faut être blond et parler le suédois pour y monter. Heureusement, j'ai un polyglotte à la maison ;)

Talaaaaaa

Voilà la bête :            

Bon, on n'a pas encore testé mais ça ne saurai tarder car demain soir nous partagerons un pur moment de convivialité autour d'une bière - barbecue, pour suivre "la game de hokey" avec une gang de potes.

PS: si dans 2 jours aucun message n'est édité sur le blog, c'est p'être qu'on a fait sauter la baraque

ENFIN ....

Nous troquons nos grosses doudounes à plumes (merci Babeth) et nos grosses bottes fourrées contre les chemises à fleurs et les "gougounes" (= les tongues).
La neige fond (même sur notre terrasse; bon OK, il en reste encore 1 m mais ça va bien finir par fondre)
Et pour confirmer ce que nous disait Ben et Fanny : "ôstie, les jupes ont vraiment raccourcies !!!! je ne sais pas ce qu'elles ont comme sêche-linge les ontariennes mais j'en veut pas !!!" :D
Héééééé oui, les scènes des concerts à venir cet été poussent comme des champignons dans les parcs, les terrasses des cafés sont bondées ... bref, les gens revivent.

Aujourd'hui nous partons explorer une cabane à sucre avec Loïc et sa cops Laurane. On mettra les photos sur le blog demain. Et puis s'il nous reste du temps et surtout du courage après la cabane à sucre, nous irons chez "Canadian Tire" (mix entre Casto et Décath) pour acheter Barbecue, bombe à dégripper les chaînes de vélos et autres ustensiles d'été. Pour le Hamac, c'est déjà fait :D
Car si tout va bien au niveau du temps, demain c'est pic-nique au bord du canal de Lachine avec Jé et Barbara.

Notre ch'tite Auré est rentrée en France temporairement pour de ch'tites vacances mais nous pensons bien fort à elle.

Dans la série des anniversaires, on continue : Jeudi 17 c'était celui de mon neveu : Doriane
                                     Bon Anniversaire loulou

33, ce chiffre semble avoir toujours intrigué l'homme: le médecin dans sa grande science vous ferait dire 33 lorsqu'il vous osculte (perso, ca m'est jamais arrivé....), on exporte une bière fameuse qui porte le doux nom de 33, et l'ami Jesus a été chamboulé par ses petits camarades à l'âge de 33 ans. Mais les fans de la Bible ne connaissent pas le vrai Christ moderne, souvent en sandales comme son ancêtre, portant des chemises hawaïennes et guidant ses marmots au volant d'un bon gros van. Et oui, le christ moderne envoie aussi du gros Backroll qui claque en Wakeboard et m'a toujours donné le goût de partager ses loisirs favoris...Ce guide c'est mon grand frérot Loïc.

Cours d'apprentissage à la marche sur l'eau

Alors puisque tu as 33 ans aujoud'hui, bon anniversaire Quickquick! (attention aux gars louches qui se balladent avec une croix en bois de 4 mètres). Et je te souhaite pleins de bonheur avec toute la petite famille.

Au passage, bon anniversaire également à Barbara!!!

Ce week end nous sommes allés à la Capitale en compagnie de Barbara et de Jérém. Là, nous avons été accueillis chez Phil (vous vous souvenez sans doute du Chuck Norris de la soirée d'Halloween... Eh bien c'est lui)
Bref, C'était le premier week end qui sentait bon le printemps : un fond d'air frais et des températures au dessus de 10°, ce qui nous a incité à profiter d'une bonne vieille bière en terrasse, à l'ancienne !!!
Ce qu'on n'avait pas vu venir, c'est le coup de soleil. Surtout moi, je suis telle une tomate ; bon sang que c'est agréable !!!!
Je vous laisse déguster ça avec l'album photo.

Hello,

Ahhh, le mois d'avril. Avril c'est l'arrivée du printemps un peu partout en France.... Mais pas au Canada!
Et oui, nous avons encore 2m de neige sur la terrasse et encore 25cm d'annoncés pour aujourd'hui. C'est pas qu'on n'aime pas la neige mais quand même, on aimerait bien avoir un soleil chaud. Or, en ce moment, les températures n'exèdent pas les 6° en plein cagnard, alors forcément, à ce rythme là, la neige sur notre terrasse ne fondra pas avant juillet. Les chats du quartier se sont apperçus de notre désespoir de "maudits français", et essaient de nous aider comme ils le peuvent. C'est à dire en pissant et bippppppp, sur notre terrasse, ou du moins sur la neige entassée de notre terrasse.
"On bien d'la misère avec c'te affaire là nous aut'e" car une fois la neige fondue... Bibi va devoir nettoyer tout ça.
M'enfin ... il paraît qu'avril est le dernier mois déprimant de Montréal avant un superbe soleil d'été et des températures flirtant avec les 30° (on croit rêver quand on entend ça emitoufflée dans 10 pulls en grosse laine, réhaussée d'une doudoune conçue par la nasa pour affronter le froid spatial.
En attendant il faut bien se réchauffer comme on peut. Certains préparent des poissons d'avril farfelus, d'autres font une thérapie de 20 minutes quotidiennes devant un fond d'écran caraïbes, etc... . Mais mes copines et moi, patientons grâce à ça:

Voici M.Pierre-André Gougeon de Charlemagne (je sais le nom ne claque pas mais ce sont de vrais prénoms d'ici!!)
Je ne sais combien de fois, dans des moments de grande dépression saisonnière, j'ai demandé à Nico s'il ne voulait pas déménager à Charlemagne... Mais j'comprends pô, il veut pô :(

Trêve de plaisanteries, je sais que nous n'avons pas mis à jour notre blog depuis pas mal de temps et nous nous en excusons platement. Nous allons bien. Nico est plus que jamais la tête dans le guidon au niveau du travail ; mômine sort de plus en plus souvent. Elle est courageuse mais pas téméraire !!! Quant à moi, je recherche toujours du travail, c'est longet difficile car les choses sont très différentes, mais ça viendra.

Sinon, le week end dernier, nous avons fêté les 30 ans de Vincent, un collègue de labo à Nico. Le thème de la soirée déguisée était "l'année 1978". Nico et moi étions en John et Olivia pour Grease... la soirée était très sympa (cf album photo)

Le week end prochain, nous partons visiter le capitale : Ottawa

Mardi dernier était une de ces journées où rien ne marche comme on le veux au labo...Rajoutez à cela l'oubli de ma carte bancaire dans un distributeur et vous imaginez facilement le réveil du "Nico grognon" dans la soirée... Et bien vous vous trompez, c'était sans compter sur la venue à Montréal de "The Hives", un groupe Suédois pour lequel Ben et moi avions acheté nos tickets il y a fort fort longtemps...Ben étant rentré en France plus tôt que prévu, c'est donc avec Franck, un postdoc breton de l'institut qu'on est allé bouger nos cheveux en synchro au Metropolis (ca fait nom de vieille boîte de nuit de campagne mais c'est en fait une terrible salle de concert, pas trop grande, ce qu'il faut de bars et surtout un bon son et une bonne vue sur scène pour tout le monde !).

Pour ceux qui ne connaissent pas "The Hives" ce sont des jeun's qui envoient le pâté depuis 1997, avec maintenant 4 albums à leur actif. Le chanteur est comparé à Mick Jagger (ouaif, peut-être), mais je trouve surtout qu'il a la tête de Jim Carrey. Avec un look improbable, ils semblent sortis de la série "Happy Days" mais ont une pêche incroyable ! Bref, vu qu'un exemple est toujours meilleur qu'un long discours, voilà une de leur "tunes" comme on dit ici, "Die, Alright" issue de leur second album "Veni, Vidi, Vicious".

The Hives - Die, Alright!
envoyé par scootaway

Bref, la soirée a vraiment fait du bien et les manips ont beaucoup mieux marché le lendemain, malgré ce petit bourdonnement au niveau des tympans (je ne pense pas que les salles aient la même norme au niveau des décibels maxis ici qu'en France, ou alors je me fais vieux, ca doit être ça!!)

Ben, j'ai bien pensé à toi!!

Prochain concert de prévu, avec ma douce cette fois, Lenny Kravitz....depuis le temps qu'on voulait le voir en live!!!

à plus les amis !!!

Il s'agit là d'une mère de 2 petites filles. Elle raconte ses aventures quotidiennes et parfois génantes (souvent même!) avec un humour décapant. En voici un exemple

La taille de Jean-Louis

C'est l'été, n'est-ce pas, les filles? Et l'été, vous le savez toutes comme moi, c'est le temps des récoltes. On sème ici et là, on arrose fréquemment, on patiente un peu, et hop! Tout à coup, y'a Jean-Louis XXX qui se ramène en maillot au bord de notre piscine. (Au bord de la mienne, en tout cas.)

C'est beau, la nature.

Mais c'est aussi bizarre: Jean-Louis est arrivé pile-poil hier midi, alors que les deux filles étaient prises en charge par le système d'éducation et que Père indigne, par un hasard incroyable, était parti à L.A. contempler des femmes avec des seins.

Aussi bien vous le dire crûment, j'étais seule à la maison. Vulnérable? Très.

J'ai immédiatement voulu mettre mon invité à l'aise en lui retirant tous ses vêtements (sauf le maillot, auquel il avait pris soin de verrouiller un gros cadenas Master à la taille -- semble-t-il que c'est la mode; enfin, c'est ce qu'il m'a dit). Puis, je suis partie me changer.

Dilemme. Allais-je, en guise de maillot, porter mon slip de maternité qui avait tant remué JL le 31 décembre dernier? Combiné avec un soutif d'allaitement rembourré, j'aurais une allure d'enfer. Mais je risquais de le rendre totalement fou de désir et de le voir s'enfuir, sans nul doute par loyauté pour Père indigne. Non, si je voulais garder Jean-Louis pour l'après-midi, il me fallait être plus subtile. Aussi, j'ai simplement enfilé mon petit itsi bitsi mini weeny tout petit petit bikini.

En arrivant dans la cour, j'ai senti le regard de Jean-Louis glisser sur moi comme sur une peau de banane bien mûre. Plus bas, encore plus bas... oh, oui, plus bas! Oups, trop bas. Les sourcils de Jean-Louis froncèrent comme une robe de collégienne. Mais contrairement aux robes des collégiennes, la figure de Jean-Louis s'allongea.

JL -- Heu, tu ne crois pas que c'est un peu...

MI -- Un peu...?

JL -- Ben, un peu... long, par là?

MI -- Long? Tu crois?

JL -- En fait, je dirais même... touffu.

MI -- À ce point?

JL -- Honnêtement, on sent la négligence.

MI -- Ben, c'est parce que Père indigne est parti pour la semaine et je ne pensais pas que quelqu'un aurait l'occasion de voir...

JL -- Faudrait être aveugle.

MI, quelque peu offusquée, d'autant que Jean-Louis n'a pas apporté de vin -- N'exagérons rien. Tous les goûts sont dans la nature, et ça, personne ne pourra me dire que ça n'est pas naturel! En fait, je trouve que ça fait plutôt exotique: jungle, moiteur, cris aigus d'oiseaux en mal d'amour, animaux sauvages en pleine chasse... Ça ne t'inspire pas?

JL -- Pour dire la vérité, je préfère un terrain de jeux bien dégagé.

MI -- Holà! Mais c'est que ça prend du temps à entretenir, et c'est toujours à refaire! Et puis, Père indigne est assez indifférent sur la question. Quand l'envie me prend, il me donne rarement un coup de main... et pis toute seule, c'est moins motivant.

Dans l'oeil de Jean-Louis, une lueur soudaine d'intérêt.

JL -- Père indigne ne t'aide pas? Il...

MI -- Ben, parfois, il me regarde, mais j'ai l'impression que ça ne le branche pas vraiment.

Jean-Louis s'était mis à tripoter fébrilement son Master.

JL -- Heu, écoute, si tu veux, je pourrais... en toute amitié... pour t'aider... si t'es d'accord...

MI -- Ooooh... Tu ferais ça??

JL -- Ben... à vrai dire... je... c'est mon fantasme secret.

Sincèrement, les filles, qu'est-ce que je pouvais faire? Appelez-moi la Mozer Térésa des fantasmes, parce que je me suis étendue dans la chaise longue, j'ai respiré un grand coup, et là, dans la cour arrière de mon bungalow lavallois, j'ai laissé Jean-Louis tondre la pelouse.


Voilà, c'était un extrait "des chroniques d'une mère indigne". Moi je trouve ça fantastique à lire. Pour ceux qui sont intéressés, voici le lien des 2 sites de cette dame, Caroline Allard allias mère indigne. Il ne vous reste plus qu'à cliquer sur les liens bleus ci-dessous....
http://www.mereindigne.com/2006/03/ Version édulcorée
http://trashindigne.blogspot.com/search?updated-max=2008-01-26T14%3A43%3A00-08%3A00 version Off ou trash, comme vous voulez
Bonne lecture

Samedi soir il y avait un évènement très attendu par bon nombre de montréalais : la nuit blanche de Montréal , ou plutôt "le festival Montréal en lumière".
Il s'agit d'un festival sponsorisé par Hydro Québec (équivalent de notre EDF) proposant de nombreuses activités à travers toute la ville et ce, jusqu'au petit matin.
Au programme des festivités, on pouvait voir :
     Un feu d'artifice sur le vieux port
     Une nuit du court métrage dans certains ciné
     Une baignade sous les étoiles à la piscine extérieure (mais chauffée) de l'hôtel Hilton
     Une soirée disco à la Mairie
     Une maison hantée
     Une piste de luge spécialement conçue pour l'occasion sur la place de l'hôtel de ville
     Des artisans à l'oeuvre tels que des souffleurs de verre
     Les fameuses "tire d'érable" (qui sont des sucettes à base de mélasse de sirop d'érable
     Un comptoir de dégustation d'alcool
     Sans oublier les patinoires extérieures, les tentes transformées en pistes de danse, etc...

Bref, il y avait de quoi faire pour toute la nuit. Ce qui est génial c'est que grâce à de tels évènements, on ne se laisse pas enfermer par l'hiver malgré les -15° de la nuit.
'inconvénient, c'est qu'il faut faire beaucoup la queue dans le froid... donc, en bons vieux français, nous avons capitulé au bout de 3h environ.